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Everleigh ∂ Always be yourself, unless you can be a unicorn. Than always be a unicorn.

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Everleigh McAllister
CAN'T HOLD US
Everleigh McAllister
MA PETITE VIE
PROFILMESSAGES : 220
INSCRIT LE : 26/12/2013
CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR : Hayden Panettière
STATUT MONÉTAIRE : Moyen

Everleigh ∂ Always be yourself, unless you can be a unicorn. Than always be a unicorn. Empty
MessageSujet: Everleigh ∂ Always be yourself, unless you can be a unicorn. Than always be a unicorn. Everleigh ∂ Always be yourself, unless you can be a unicorn. Than always be a unicorn. EmptyJeu 26 Déc - 22:43

Le cacao pousse dans les arbres, et le chocolat est fait de cacao. En fait, le chocolat, c'est de la salade.
Everleigh McAllister

nom: McAllister. prénom: Everleigh Jenna. âge: Vingt-six ans. date et lieu de naissance: Le vingt-trois juillet mille neuf cent quatre-vingt-sept à Southport, Caroline du Sud, États-Unis. nationalité: Américaine. métier/études: Écrivaine & Enseignante en français au lycée en congé sabbatique. statut matrimoniale: Célibataire. statut monétaire: Situation moyenne. groupe: Safe & Sound.  ta chanson country fétiche: That don't impress me much - Shania Twain


Petit un. Everleigh ne s'est jamais considéré comme complètement amoureuse de quelqu'un. Elle a eu quelques relations, certes, mais elle s'en est vite lassée, puisqu'elle est très exigences par rapport à ce qu'elle recherche chez un homme. Elle peut être considérée ce qu'on appelle une célibataire endurcie.
Petit deux. Aux premiers abords, Everleigh peut sembler distante, solitaire et froide, mais lorsqu'on la connait mieux, elle devient la meilleure amie, la grande soeur qu'on veut tous avoir au moins une fois dans sa vie. Il suffit d'accrocher son regard, son attention, et apprendre à la connaître pour la voir sous un nouvel angle. C'est ce qui explique pourquoi, lorsqu'elle était enseignante, elle avait une réputation mitigée; certains l'appelaient "vieille femme à chats" et d'autres la considéraient comme la prof la plus cool du lycée.
Petit trois. Everleigh a la manie d'être contradictoire dans ses désirs et ses goûts. Elle aime autant être bien posée quelque part que de voyager un peu partout à travers le monde, elle aime lire un livre rapidement pour en lire le plus possible, mais elle veut en savourer chacun des mots. Elle est parfois difficile à suivre, mais elle s'en moque, elle s'aime comme elle est.
Petit quatre. Everleigh n'aime pas parler de sa famille. En fait, elle n'en parle jamais, si bien que tout le monde croit qu'elle est orpheline, et ça l'arrange.
Petit cinq. Son idéal amoureux se trouve bien souvent dans les romans de Nicholas Sparks, son auteur préféré. Elle a lu tous ses livres plus d'une fois chacun parce que justement, ils la font rêver au grand amour, même si elle le sait irréalisable. C'est beau d'espérer quand même, non ?
Petit six. Everleigh est un esprit libre, elle n'aime pas avoir des limites et qu'on lui mette de la pression. Si ce n'était que d'elle, elle n'aurait pas de montre, pas d'horloge chez elle, même pas de téléphone pour regarder l'heure, parce qu'elle aimerait que le temps n'existe pas et qu'elle puisse fait ce qu'elle veut, quand elle le veut.
ft Hayden Panettiere n @ Cranberry


En ce jour, j'ai une histoire, connait là.
~ GONNA MAKE THIS PLACE HOME ~

« Monsieur Montgomery, il faut que je change quelque chose dans le roman. C’est très important. »
« Mademoiselle McAllister, qu’est-ce qui peut être si important pour que vous souhaitiez le modifier ? Vous réalisez que la publication est dans une semaine, que le manuscrit est déjà chez l’imprimeur et que de nombreuses copies ont déjà été imprimées à l’heure où on se parle ? C’est impossible. »
« Je suis prête à faire une concession concernant les copies déjà imprimées, mais pour le reste, je veux absolument faire cette modification, je me dois de le faire. »
« Et qu’est-ce que vous tenez tant à changer ? Je vous ai déjà dit que le texte était parfait. »
« Ça n’a rien à voir avec le texte, c’est la dédicace que je veux modifier. »

Je regarde mon éditeur, Noah Montgomery me considérer, puis pousser un soupir. Je ne pouvais pas réaliser que j’en demandais beaucoup, que rationnellement, ce genre de demande était tout simplement impossible. Mais j’ai vingt-deux ans, je suis sur le point de publier mon premier roman après avoir passé trois ans de ma vie à faire des études en littérature, et je ne vois pas l’aspect rationnel des choses. Je pense surtout à l’aspect significatif, au fait que si je ne faisais ne serait-ce qu’une tentative pour modifier cette dédicace, alors je le regretterais à chaque fois que j’allais considérer une copie de ce roman, que j’allais voir sur la première page les quelques mots non modifiés, qui semblent bien futiles aux premiers abords, mais qui ont une immense signification à mes yeux. S’il fallait que j’attende toute la nuit pour avoir l’accord de mon éditeur, alors qu’il en soit ainsi, j’y tenais réellement, surtout que c’était le premier, et j’espérais, le seul caprice d’auteur que je faisais.

« Je vois. Et pourquoi vous souhaitez tant la modifier ? »
« Parce que quelqu’un d’autre mérite sa place dans ce livre autre que ce que j’ai écrit auparavant. »

J’essayai de ne pas prononcer ces mots d’une voix tremblante, même si j’étais encore sous le coup de l’émotion, que je repensais à tout ce qui était arrivé au cours des heures précédent mon arrivée dans ce bureau. À la base, ce livre devait être dédicacé à mes parents, mais en toute ironie, pour leur montrer que j’avais réussi à faire quelque chose de ma vie, contrairement à ce qu’ils ont toujours pensé. Depuis que j’avais choisi d’entrer en littérature, ils étaient froids, me considéraient de haut, comme s’ils n’avaient aucune fierté en ce que je faisais. Je ne leur avais jamais dit que j’avais commencé à écrire un roman, parce que je savais ce qu’ils allaient en penser. Toutefois, lorsque j’avais trouvé une maison d’édition pour le publier, qu’on me garantissait une bonne quantité de copies à mettre sur les tablettes des librairies, je n’avais pas su leur cacher, et cela n’avait pas été suffisant. J’en avais eu la preuve au cours de l’après-midi, quand je m’étais disputée plus fort que jamais avec eux. J’en avais même décidé de quitter la demeure familiale pour m’installer, seule, puisque maintenant, je jugeais que je n’avais plus de famille, pas depuis hier en tout cas.

« Je vais voir ce que je peux faire. Écrivez sur un papier ce que vous souhaitez écrire et je vous donnerai des nouvelles. »

Mes yeux s’illuminèrent à cette réponse, et aussitôt, je prononçai un remerciement silencieux, laissant mon regard démontrer comment j’étais reconnaissante. Rapidement, je pris un carnet et un stylo dans mon sac à main – j’en avais toujours un sur moi – et j’écrivis frénétiquement À toi, grand-maman, la seule qui m’a toujours appuyée. Je t’aime, repose en paix. avant de donner le papier à mon éditeur, le remercier une nouvelle fois, et sortir du bureau en croisant les doigts pour que la semaine prochaine, je puisse lire au moins sur quelques copies ces quelques mots que je voulais adresser à ma défunte grand-mère, ma seule famille.

*****

« Everleigh, je crois que tu te doutes de la raison pour laquelle je t’ai convoquée aujourd’hui. Il faut que je fasse par à mes supérieurs de l’avancement de ton manuscrit. »

Je fronçai les sourcils à son approche. Je savais bien que je le connaissais depuis un moment, mais je crois que c’était la première fois qu’il m’appelait par mon prénom, qu’il me parlait comme un père qui demande des comptes à son enfant après une journée d’école. Toutefois, j’essayai de ne pas trop m’y attarder, puisque je savais qu’en ce moment, j’étais plutôt comme un enfant pris en faute. D’ailleurs, je ne pus m’empêcher de baisser la tête avant de répondre :

« J’ai… j’ai commencé à écrire le second chapitre. »
« Everleigh, tu devais avoir fini cinq chapitres pour la semaine dernière ! »
« Je sais, mais… »
« Mais quoi ? »
« J’ai du mal à travailler avec une date limite. »

Noah soupira. Je m’en doutais bien qu’il réagirait ainsi. Ça fait deux fois que je dépasse la date limite qui m’est allouée, et cette fois-ci, ce n’est pas rien qu’un peu. Toutefois, je ne sais pas comment réagir à cela, puisqu’écrire était à la base un passe-temps et non une profession avec des devoirs et des comptes à rendre. J’étais bien consciente que si je voulais offrir aux amateurs de mon premier roman une suite, ou quelque chose de nouveau, je l’ignorais encore, il faudrait que je me mette au travail et que je ne prenne pas dix ans à le pondre. Par contre, je n’étais pas du genre machine à écrire, je préférais de loin peser chacun de mes mots, m’assurer que tout concordait, et que l’effet d’imaginaire, d’évasion soit complet, puisque c’était ça que j’aimais, dans les livres, quand ce n’était pas qu’un simple alignement de mots dans un style quelconque.

« Désolée… »
« Je ne sais pas comment je pourrai arranger ça, cette fois-ci… Sauf... »

Sur cette phrase inachevée, Noah se leva, et contourna son bureau pour s’approcher de moi. Il posa dans un premier temps ses mains sur les appuis-bras avant de dire :

« Peut-être que toi et moi, on peut tenter de s’arranger… »

Je ne bronchai pas, et je le regrettai bien rapidement, puisqu’il ne termina jamais son propos et soudainement, une de ses mains glissa sur ma cuisse pour remonter dangereusement vers ma poitrine. Ce fut seulement lorsqu’il approcha ses lèvres des miennes que je le poussai brusquement, me levai, et je dis :

« Mais vous êtes malade ! À quoi vous jouez !? »
« Oh allez Everleigh ! Ne me dis pas qu’après deux ans l’envie ne t’a jamais prise ! Si tu es prête à tout pour ton boulot, alors tu vas le faire… »
« Non, ça je ne suis pas prête à le faire. C’est fini, je démissionne. »

Je ne perdis pas plus de temps pour prendre mon sac et quitter la pièce presqu’en courant, traversant le bâtiment au même rythme. Ce fut seulement à l’extérieur que je m’adossai à un mur dans une ruelle, et qu’en haletant, je tentai de reprendre mes esprits, laissant une larme couler sur ma joue. Je ne pouvais pas croire que j’étais descendue aussi basse, ou plutôt que mon éditeur, celui qui a cru en moi, qui m’a donné ma chance, croie que je sois ce genre de fille. Rien qu’à y penser me donnait un haut-le-cœur, et je ne saurais supporter songer à rester dans cette ville où finalement, j’étais bien seule, puisque Noah était probablement la dernière personne à qui je faisais confiance. Partir, voilà la seule option qui, à mes yeux, me restait. Je ne pourrais jamais aller dans une autre maison d’édition en racontant ce qui s’était passé, j’en avais honte, même si je n’avais rien fait. De toute façon, ce serait le même manège. La littérature professionnelle, ce n’était peut-être pas pour moi, finalement.

*****

« Mademoiselle McAllister ? Je peux vous poser une question ? »
« Hum oui, bien sûr ? »

J’avais regardé la jeune étudiante bien banalement après avoir arrêté de ranger mes affaires, puisque la cloche avait sonné dans ce petit lycée en banlieue de New York où j’avais trouvé un emploi que j’occupais depuis maintenant trois ans après ma démission de ma maison d’édition. C’était quelque chose de bien classique, banal, mais qui m’occupait, et que j’aimais bien. Justement, cette banalité ne me donna pas grand espoir concernant la question que cette jeune femme voulait me poser, donc je ne fis pas de cas jusqu’à ce qu’elle dise :

« L’extrait sur lequel on devait travailler aujourd’hui… L’auteur… C’est vous, n’est-ce pas ? »

Je demeurai bouche-bée par rapport à cette question. Pendant ces cinq années, j’avais discrètement, sans le dire à personne, incrusté des extraits du roman sur lequel j’avais continué à travailler. Parfois, c’était une phrase à corriger, d’autres fois c’était un extrait plus long. Aujourd’hui, j’avais distribué une page complète, et je l’avais donné en analyse pour le lendemain. Toutefois, jamais personne ne s’était rendu compte que c’était là ma plume, et j’étais même sûre que tout le monde s’en moquait parfaitement, jusqu’à aujourd’hui. Il fallut que je reprenne même mes esprits avant de répondre :

« Hum… Comment as-tu deviné ? »
« Eh bien, je trouvais que le style ressemblait à celui de votre premier roman, et j’aime beaucoup, puis je tenais à vous le dire… »

J’eus un sourire attendri. C’était adorable de sa part, et pour tout dire, ça me faisait chaud au cœur, si bien que je ne sus que répondre, cette fois-ci. Je me contentai de balbutier un merci bien maladroit, persuadée que j’avais commencé à prendre de la couleur au niveau des joues, ce qui ne m’arrivait pas souvent. Puis, considérant qu’elle avait eu réponse à sa question, elle me sourit, et elle me dit :

« En tout cas, vous devriez continuer d’écrire, j’adorerais voir la suite de cet extrait. »
« Merci beaucoup, c’est gentil, Rosalyn. Passe une belle fin de journée. »

Ces quelques mots bien simples me donnèrent sujet à réflexion. Peut-être qu’au fond, ma carrière d’écrivaine, ma passion, n’était pas totalement finie. Peut-être que je pourrais peut-être compléter ce roman que j’avais commencé lentement, mais sûrement. C’est à cela que je pensai tandis que je rentrais chez moi, et une fois à mon appartement, je choisis d’envoyer un message à ma meilleure amie, qui était déjà partie depuis quelques jours pour Bishopville, un petit patelin à quelques heures d’ici. J’ouvris mon ordinateur, et je lui envoyai un message qui se lisait comme suit :

Salut ma belle, comment tu vas ?

Dis, tu te souviens, quand tu m’avais proposé de venir squatter dans ton nouveau chez toi, est-ce que ça tient toujours ? Parce que je pensais peut-être prendre cette fameuse fin d’année sabbatique comme j’y songeais depuis un moment. J’ai envie d’écrire, enfin, je crois. Je vais essayer, on verra.

Donne-moi des nouvelles quand tu peux, si jamais tu me dis oui, sache que je fais ma valise dès demain et j’arrive.

Je t’embrasse,
Everleigh.


Je relis rapidement le message, et j’appuyai sur la touche « Envoyer » laissant mon ordinateur ouvert dans l’espoir d’obtenir une réponse rapide. La suite de ma vie dépendait maintenant de cette fameuse réponse, voir si j’allais quitter mon métier d’enseignante jusqu’à la fin de l’année pour poursuivre à nouveau cette carrière dont j’ai toujours rêvé, qui pourrait peut-être être de nouveau à portée de main.



PSEUDO/PRÉNOM: Mayiie/Marilyne. - ÂGE: 23 ans. - PAYS: Canada. - RÉSERVATION: Ce ne sera pas nécessaire je crois Razz. - COMMENT ÊTES-VOUS ARRIVEZ ICI: Par Facebook à la base, avec mon premier compte, Salomé (a). - AUTRE: Je vous aime I love you.
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MessageSujet: Re: Everleigh ∂ Always be yourself, unless you can be a unicorn. Than always be a unicorn. Everleigh ∂ Always be yourself, unless you can be a unicorn. Than always be a unicorn. EmptyVen 27 Déc - 0:56

haydeeeeen Everleigh ∂ Always be yourself, unless you can be a unicorn. Than always be a unicorn. 1352624170
ré bienvenue parmis nous Everleigh ∂ Always be yourself, unless you can be a unicorn. Than always be a unicorn. 15076580 
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MessageSujet: Re: Everleigh ∂ Always be yourself, unless you can be a unicorn. Than always be a unicorn. Everleigh ∂ Always be yourself, unless you can be a unicorn. Than always be a unicorn. EmptyVen 27 Déc - 1:03

Merchi Everleigh ∂ Always be yourself, unless you can be a unicorn. Than always be a unicorn. 1352624170

Si jamais un admin veut m'approuver, j'ai fini ma fiche Everleigh ∂ Always be yourself, unless you can be a unicorn. Than always be a unicorn. 3084534274 Sinon je m'auto approuverai Everleigh ∂ Always be yourself, unless you can be a unicorn. Than always be a unicorn. 2621822428
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Jazlyn Roswald
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Jazlyn Roswald
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MessageSujet: Re: Everleigh ∂ Always be yourself, unless you can be a unicorn. Than always be a unicorn. Everleigh ∂ Always be yourself, unless you can be a unicorn. Than always be a unicorn. EmptyVen 27 Déc - 7:07

Reese' Everleigh ∂ Always be yourself, unless you can be a unicorn. Than always be a unicorn. 2017660707 I love you
Je suis sur mon tel donc je ne peux pas te valider **
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MessageSujet: Re: Everleigh ∂ Always be yourself, unless you can be a unicorn. Than always be a unicorn. Everleigh ∂ Always be yourself, unless you can be a unicorn. Than always be a unicorn. EmptyVen 27 Déc - 7:53

Rebienvenue jolie jeune femme <3
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MessageSujet: Re: Everleigh ∂ Always be yourself, unless you can be a unicorn. Than always be a unicorn. Everleigh ∂ Always be yourself, unless you can be a unicorn. Than always be a unicorn. EmptyVen 27 Déc - 9:10

je t'approuve dans ce cas I love you

validée ma couupiiiine ! Everleigh ∂ Always be yourself, unless you can be a unicorn. Than always be a unicorn. 2017660707

re-bienvenue, t'es belle en Hayden Everleigh ∂ Always be yourself, unless you can be a unicorn. Than always be a unicorn. 463779403
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MessageSujet: Re: Everleigh ∂ Always be yourself, unless you can be a unicorn. Than always be a unicorn. Everleigh ∂ Always be yourself, unless you can be a unicorn. Than always be a unicorn. Empty

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