~ THIS IS WHO I AM ~
nom: howell nom de famille de mon père, une origine galloise d'après l'origine de celui-ci.prénom: azel, mary tradition familiale veut que je porte le prénom d'un des anciens membres alors  c'est exactement pourquoi j'ai le prénom de ma grand-mère. âge: vingt-cinq années ont réussi à s'écouler. date et lieu de naissance: un vingt-trois durant à mois d'été, bishopville bien sûr. nationalité: ricaine du sang à l'os. métier/études: restauratrice d'art qui peut aussi se comparer à antiquaire par moment, serveuse quand il le faut. statut matrimoniale: célibataire, ils ont peur de moi. statut monétaire: j'essaye et j'y arrive, je vais dire modéré. groupe: safe and sound.  ta chanson country fétiche: these boots are made for walkin'.

~ JUSTE MORE ABOUT YOU ~
elle souffre d'une sclérose en plaque depuis l'âge de huit ans. ▴ comme toute adolescente, elle a eu une période rébellion drogue, alcool, sexe. ▴ elle aime la musique pop surtout celle durant les festivals. ▴ très peu de personne sont au courant de la maladie d'azel. ▴ douée dans les arts, elle sera reconnaître un van gogh d'un picasso. ▴ admirative des motos, elle aimerait posséder une harley depuis toute petite. ▴ c'est une fille très tactile et très câline qui toujours à besoin d'avoir une personne près d'elle. ▴ elle ne croit pas en l'amour, du moins très peu de garçon ne s'attache à elle : et oui quand on sait qu'elle meurt à petit feu. ▴ c'est une addicte des chapeaux. ▴ sportive, son arme secret est la boxe. ▴ elle aimerait croire que quelqu'un peut l'aimer.

Bishopville, une petite foule de personne avec une température moyenne très agréable, il ne faut pas trop se plaindre et puis on est à Bish et non à Los Angeles. Petite école, petite mairie rien vraiment grandiose mais, on s'y plait bien. Bon, parlons sérieusement maintenant, parlons de ma personne. Loin d'être une romancière je pourrais cependant surement écrire un livre sur ma vie passer et même si je n'ai que vingt-cinq ans. Salut, moi c'est Azel Howell : une pure américaine issue d'une famille de classe moyenne, j'aborde la vie comme n'importe quel autre jeune avec malgré ça quelques difficultées. J'balance la sauce maintenant ou j'attend : je crois il est préférable de faire les choses correctement. Tiens, voilà mon histoire.
« Max, faut qu'on trouve un prénom alors arrête de faire ta tête de con et on prend mon idée. » ma mère était franche et directe d'un genre vraiment caniche argneux. « Tobias je t'ai dit, c'est le nom de mon grand père. C'est mignion, simple et puis dur de changer donc à l'école elle sera peinarde. » répliqua mon tout jeune père pencher juste au dessus de mon berceux, d'un air niais il souriait sans vraiment écouter sa fiancée. « Non pas... t'es pas sérieux. Tobias, ça fait Toby, byby, toto alors jamais de la vie ma fille portera un prénom de chien à sa mémère. Azel, c'est bien non ? » ajouta-elle en fronçant les sourcils d'un air interrogateur. « C'est le prénom de ta mère. Il est hors de question que ma fille porte le prénom de ma belle-mère, pis quoi encore ? » Max se redressa sur ses deux jambes avant d'aller s'asseoir près de ma mère, tout deux, ne savant pas quoi faire. Jamais ils n'étaient d'accord et aujourd'hui encore moins. « Azel-Tobias. » dit-elle fièrement d'un large sourire avant de pouffer de rire en entendant la bêtise qu'elle venait de balançer. Un coup contre la porte fit taire ma mère, une infirmière surement polonaise vue l'accent et une crinière blonde voir blanche, vint alors demander le prénom de l'enfant qui venait tout juste de naître. Spontanément, Lily, la toute jeune mère dit « Azel. » puis sans laisser le temps à mon père d'ajouter son grain elle continua. « C'est moi qui l'ai eu dans le ventre durant neuf mois avec nausée, prise de point, pied qui enflent et le bordel qui suit. C'est moi qui en ai chiée durant trois heures pour la faire venir ici alors je décide. » enfin elle tourna la tête vers l'infirmière, toute sourire, elle rajouta pour confirmer. « Azel, elle s'appelle Azel. »


Mes premières heures furent plutôt cahotique, mes parents se disputaient déjà à mon sujet et ce n'était que le début d'une longue épreuve. Vous savez, c'est important des parents, c'est tellement important de savoir que derrière vous il y aura toujours des personnes qui seront là pour vous afin de vous épaulez, de vous soutenir et vous rassurez. Beaucoup de jeunes ne savent pas leurs chances, sans cesse il se plaignent d'une mère trop possessive et d'un père autoritaire mais ouvrez les yeux sans eux vous n'êtes rien. Quand on a huit ans, on sait quoi de la vie ? on ne sait rien, on se sait pas se que sait la vie, se qu'elle peut représenter. Quand j'avais huit, je savais se qu'était la vie et je savais exactement ce que représentait cette vie pour moi. Huit ans fut une page tournée, un âge durant lequel mon enfance m'abandonna. Huit ans fut le début d'une épreuve, d'une longue épreuve pour moi et pour ma famille. Huit ans fut l'âge où je fus diagnostiqué comme atteint de la sclérose en plaque. C'est quoi ça ? on s'en fou. C'est une maladie qui mange ma vie plus vite qu'il le faudrait et qui me fait vivre à cent à l'heure.
« les frais hospitalier, le traitement, les déplacements on n'arrivera jamais jusqu'à la fin du mois. » Lily était désespérée, assise sur le canapé, les mains posées sur son visage, moi du haut des marches j'entendais les sanglots de ma mère. « on demandera encore une fois de l'aide à la banque, demain matin j'y retourne et je ne vais pas les lâcher, je te promets. » dit Max, en serrant comme il le pouvait Lily dans ses bras, une tentative de consolation. Il était l'homme de la famille, le patriarche et il se devait de résoudre le problème. Le problème était l'argent, la tune de merde qu'il devait trouver pour que je puisse continuer à vivre. Le deal c'était l'argent ou je crevais de ma maladie : c'est bête quand même.

Ensuite, j'ai grandi, je suis devenue une adolescente un peu plus mature que les autres enfin mature sur certaines choses. Etudier, se soigner, étudier, se soigner, étudier : je ne faisais que ça sans cesse. Jamais je ne prenais le temps de vivre ma vie de jeune fille, tout était fait dans la précipitation, dans l'idée qu'il se pourrait que je parte plutôt que prévu. Seulement ma maladie c'est stabilisé pendant mon adolescence, cela peut rester ainsi durant très longtemps comme s'en aller aussi vite et me laisser sur un lit, inconsciente c'est pourquoi un jour j'ai dit stop. Profiter, je ne voulais que ça, profiter de la jeunesse, profiter du moment où je suis bien, profiter simplement. Bien évidemment je n'ai pas fait les choses comme il le faudrait et naïve que je suis, j'ai laissé les autres m'entraîner.
« tiens, une nouvelle tête. » mon regard tourna à quatre-vingts-dix degré, un jeune homme plutôt grand, fin avec certains muscles apparent abordait un style assez décontracter : tatane, short, tee-short et un joint entre les doigts. « ce n'est pas habituel de voir des jeunes filles et jolie en plus dans le coin. » je ne fis qu'un simple sourire, c'est vrai que je n'avais pas trop ma place dans cette partie de la population donc elle était ma place dans cette société. « moi c'est Nawel mais, tu peux m'appeler No. Qu'est tu viens faire ici ? » questionna-il d'un air intrigué tout en s'installant sur la marche au-dessus de la mienne, qu'est-ce que je viens faire ici ? « oublier surement. » répliquais-je en attrapant une bouffée de ce cône que je retirai immédiatement de ma gorge. Quant à lui, il ne broncha pas et en réalité je ne savais pas s'il m'avait écouté. « cela tombe bien, moi aussi. » dit-il alors, surprise je me retourne et fixa son regard. Qu'est-ce qu'un garçon comme lui pouvait oublier, il était bien le genre quaterback, des filles à tire les ballons, une grosse bagnole, un compte en banque extensible. « d'abord toi, tu m'en raconte un peu ? » non, je ne raconte rien. Je n'ai pas l'habitude de raconter ma vie. « et pourquoi je te dirais qui je suis ? on ne se connaît pas... » mais, je n'eu pas le temps de terminer. « c'est sûr que si je te connaissais t'aurais rien à dire, logique. Maintenant raconte moi. » personne ne m'avait déjà parlée ainsi, encore plus surprise il s'installa près de moi en me regardant d'un air interrogateur enfaîte il attendait vraiment. Soupirant je détourne mon regard loin de lui afin de le fixer ailleurs. « je n'ai rien de plus que les autres à t'en raconter, je m'appelle simplement Azel et ce que je fume en ce moment c'est plutôt pas mal. » comme unique réponse il me rit au nez mais, vraiment un rire de moquerie. « quoi ? » demandais-je vexée. « ça se voit tout de suite que tu n'es pas une fumeuse régulière, alors arrête de me faire croire que ce n'est pas la première fois que tu viens fumer ici. Maintenant Azel... tu es qui ? » je n'ai jamais connue une personne aussi borné que lui. « j'habite à bishopville depuis toujours, avec mes deux parents. J'étudie les arts anciens pour être restauratrice voir antiquaire et j'fais un petit boulot de serveuse histoire de soulager mes aînées, ils en bavent avec moi depuis que je suis née. » finis-je, je n'allais surement pas lui dire que j'étais malade. Pitié et autres blabla je n'en voulais pas. « bah tu vois quand tu veux, t'es pas le genre rebelle toi pourtant. » affirma-il pour mes dernières paroles. « je dirais plus que tu es le genre de fille à papa, maman qui ne pense qu'aux études, qui fait passer elle avant les autres, car elle souffre d'un truc qui ne faut surtout pas dire oulala. Pourquoi t'es ici ? » cela devait un trop étrange de plus je n'appréciais pas trop la manière tout il me parlait alors je repris mon bric à brac est partie dans la rue déserte. « tu fuis, c'est une possibilité. » il m'énervait, son air supérieur faisait monter en moi, une haine. « tu ne me connais pas, tu me juge pas. » puis comme-ci tout était normal il me suivait, il avait pris mon pas, sa cigarette à la bouche. « tu veux que je te dise quoi ? hein. On ne se connaît pas, je sais simplement que tu t'appels nawel que ton jean et pourrie et que ta coupe est affreuse : ce n'est pas mieux. »
Après mes dernières paroles, Nawel me suivait jusqu'à aujourd'hui encore. Il était devenu mon ami, mon soutien et le seul à comprendre vraiment ce que c'était de souffrir.

Où en suis-je désormais ? c'est très bien azel tu as eu ton diplôme, c'est bien az' maintenant tu travailles, excellent tu ne vis plus chez tes parents mais, toi dans ta tête tu en es où ? Tsss j'en suis nulle part, réussir était le seul moyen pour que je puisse vivre ma vie comme je le souhaitais sans ma famille mais, avec ma maladie. Elle, oui elle est bien encore présente, toujours aussi stable et elle m'a pris l'espoir d'avoir des enfants. En plus de manger ma vie et minimise ma lignée, fantastique et puis quand je vois le bordel que c'est pour adopter : je vois que je suis très bien tombée et que dieu n'existe pas. Lui, s'il existait vraiment comme ma mère le croit si fortement serais-je arrivée sur terre avec autant de problèmes parfois je me demande si je n'ai pas un mais, deux petits diable au-dessus de ma tête. Heureusement j'arrive à vivre avec on croit même que je suis en pleine forme, car chaque jour qui passe je profite du mieux que je le peux et je sais très qu'il le faut parce qu'une vie est chère et c'est un cadeau précieux. Souriez, riez, courez, respirez, regardez, admirez tant qu'il est possible.