dreams come slow and they go so fast (samwell)

MA PETITE VIE PROFIL

désillusionnée avant l'âge je dégueule sur la facilité des sentiments.
samwell berlioz isaiah hatfields

nom: Hatfields qui lui vient de ses parents biologiques. prénom: Samwell bien qu'il se fasse appeler Samy et, que très peu connaissent son prénom en entier ; Berlioz et, Isaiah. âge: vingt-huit année date et lieu de naissance: né le sept octobre mille neuf cent quatre-vingt-cinq à Newcastle nationalité: anglaise, allemande et britannique métier/études: pompier volontaire et, garagiste. statut matrimoniale: célibataire statut monétaire: il gagne sa vie moyennement. groupe: ~ SAFE & SOUND. ta chanson country fétiche: give in to me.

Dans cette section vous insérerez les tics et manies de votre personnage. Vous n'êtes pas obligé de faire vingts points, ou de mettre beaucoup de ligne. Seulement quelques information sur votre personnage qui sont bonne à savoir. Par exemple, dites ce qu'il aime, ce qu'il n'aime pas, ce qu'il sait sur son passé, sur ces traits de caractère (défauts, qualités), sur sa famille, sur ces relations amoureuses; bref il y en a beaucoup. Un minimum de six points sont demandé. Dans cette section vous insérerez les tics et manies de votre personnage. Vous n'êtes pas obligé de faire vingts points, ou de mettre beaucoup de ligne. Seulement quelques information sur votre personnage qui sont bonne à savoir. Par exemple, dites ce qu'il aime, ce qu'il n'aime pas, ce qu'il sait sur son passé, sur ces traits de caractère (défauts, qualités), sur sa famille, sur ces relations amoureuses; bref il y en a beaucoup. Un minimum de six points sont demandé.

ft paul wesley n @hi-paul

PSEUDO/PRÉNOM: soapflaws/mélissa mais, mélie pour les intimes dreams come slow and they go so fast (samwell) 1352624170

- ÂGE: vingt-une année de conneries dreams come slow and they go so fast (samwell) 3041029580

- PAYS: france - RÉSERVATION: aucune dreams come slow and they go so fast (samwell) 1170288439

- COMMENT ÊTES-VOUS ARRIVEZ ICI: par ma jenn d'amouur dreams come slow and they go so fast (samwell) 808880201

- AUTRE: i lovee you guurls (jenn & naïs) dreams come slow and they go so fast (samwell) 2387640640

MA PETITE VIE PROFIL

En ce jour, j'ai une histoire, connait là.
~ GONNA MAKE THIS PLACE HOME ~

on essaie de se dire que la réalité vaut mieux que le rêve. on se persuade qu’il vaut mieux ne pas rêver du tout. les plus solides d’entre nous, les déterminés s’accrochent à leurs rêves. il arrive aussi qu’on se retrouve en face d’un rêve tout neuf qu’on avait jamais envisagé. un jour on se réveille, et contre toute attente, l’espoir renaît, et avec un peu de chance on se rend compte, en affrontant les événements, en affrontant la vie, que le véritable rêve, c’est d’être encore capable de rêver. (grey’s anatomy, meredith.)

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C’était une après-midi comme toutes les autres. Samwell, la raquette à la main sur le cours de tennis et son père à côté à lui balancer à tout va des conseils, des reproches car oui, le père de Samwell était aussi son entraineur. A droite du terrain battu, se trouvait là quatre demoiselles en tenue de tenniswomen. Petite jupe-short, tee-shirt près du corps, tout était fait pour attirer le regard sur elles. A vrai dire les seuls protagonistes présents dans le lieu étaient le joli brun et son père et leurs attentions étaient plutôt portés sur la balle que sur les éléments environnants. Quant à elles, elles avaient bien remarqué le jeune tennisman et se donnaient des coudes entre elles pour se le faire remarquer. « Hé, mais c’est le petit nouveau … pas mal dit-donc ! » chuchota l’une d’entre elles. Elles restèrent là debout, figées comme des statuettes devant lui. On pouvait bien les caricaturer avec un filet de bave et le bavoir autour du cou à cet instant précis. Les minutes défilèrent et la séance d’entrainement arriva à sa façon. En poignant une serviette sèche, le jeune sportif s’essuya le visage où des gouttes de sueurs perlèrent. Sa raquette posée à côté de lui, il écouta religieusement son entraineur. « Ça va aller pour aujourd’hui ! Allez hop vestiaire ! » Cette phrase voulait tout dire. La délivrance en quelque sorte, aller rejoindre la douche voilà ce que cela signifiait. Pourtant il n’allait pas aller la rejoindre si rapidement qu’il ne l’espérait notre jeune prodige. Alors qu’il rangeait ses affaires, nos fameuses demoiselles de toute à l’heure vinrent l’accoster. Telles des hyènes autour une charogne au plein de la Savane, elles n’hésitèrent pas à lui lancer quelques sourires et regards qui en disaient long. Un peu gêné par cette arrivée de masse, Samwell, qui venait de finir de ranger ses affaires, lança un petit sourire aux quatre inconnues. « Eh… Salut ! » La petite main dans les cheveux, les petites pommettes rouges, ce n’était pas qu’il était de nature timide, mais plutôt qu’il ne savait pas comment se comporter. Surtout avec des personnes qu’il ne connaissait pas, et encore plus quand celles-ci était des filles. « Vous jouez au tennis alors comme ça ? » Certes la question pouvait paraître stupide, mais elle meubla le silence et rapidement la plus grande des quatre prit la parole : « Oui ! Tout comme toi à ce que je vois ! » Les trois autres qui étaient en retrait se regardèrent, voyons alors là l’incompréhension se peindre sur leur visage. Voyez-vous là, un beau mensonge que venait de dire la blonde pour attirer l’attention sur elle. Cependant, Samwell était ravi de cette réponse et leur proposa de faire un match avec lui. « Oui, mais on doit y aller là ! Une prochaine fois ! » dit l’une d’entre elles. « Oui, on a déjà quelque chose de prévu là, on est … désolées. Une prochaine ? » Un sourire nerveux s’afficha sur le visage de cette dernière. « Bien comme vous voulez ! Une prochaine fois dans ce cas ! » Les novices du tennis acquiescèrent toutes une à une avant de saluer le beau brun et de le laisser vaquer à ses occupations. Et c’était comme ça à presque chacune des séances d’entrainement du jeune australien. Leur intention était simple : juste lui mettre le grappin dessus. Les années passèrent et vinrent la première petite amie, le premier baiser, la première fois avec elle, la première cuite, la première cigarette, le premier mur que l’on fait la nuit pour rejoindre sa douce bien aimée, toutes ces premières fois nous faisaient grandir et évoluer et faire en sorte que l’on devienne quelqu’un. Samwell devenait de jour en jour ce quelqu’un.

Sinéad. Le nom de sa petite amie. Il avait alors dix-neuf ans à cette époque. Le jeune tennisman avait bien grandi depuis son arrivée. Main dans la main, les deux jeunes gens se dirigeaient vers les cours de tennis pour l’entrainement quotidien du jeune homme. Devant les vestiaires, la jeune fille lança un sourire à son petit ami avant de lui lancer : « Tu sais que tu es croqué là ? » Dit-il en l’entrainant dans les vestiaires. « Hum, j’aimerais bien voir ça ! » Finalement Sinéad et Samwell allaient s’adonner à un gourmand plaisir éphémère. La main du jeune homme glissa alors doucement sous la jupe de la jolie brunette qui allait enleva un à un les boutons de la chemise du garçon tout en lui occupant les lèvres. La scène aurait pu continuer si un élément perturbateur vint mettre fin à leur petite occupation. En effet le père de Samwell entra dans la pièce à un mauvais moment, disons qu’il avait vu ce qu’il ne devait pas voir. Sortant alors précipitamment des vestiaires en colère. Le fils alors gêné par ce que son paternel venait de voir essaya de se reboutonner tant bien que mal et accourut vers la sortie où l’homme se trouvait. « Samwell ! Je t’ai déjà dit de ne plus côtoyer cette fille ! » Sous l'effet de la colère, le jeune homme vient a répliqué sèchement a son père ses brefs paroles. « Ce n’est pas n’importe quelle fille, papa ! C’est Sinéad. » Le père de Samwell rétorque. « Sinéad ou une autre, tu vas devoir choisir : c’est le tennis ou elle ! » Un ultimatum, voilà ce qu’il venait de lui poser. Choisir entre le tennis ou sa petite amie était quelque chose d’impossible et d’inimaginable pour notre joli brun. Pourtant, son choix était déjà fait, c’était : elle.

la douleur, vous devez arriver à la surmonter, espérer quelle disparaisse d’elle-même, espérer que la blessure qui l’a causée ce referme. il n’y a pas de solution, pas de remède miracle, vous devez respirer à fond, et attendre qu’elle s’estompe. la plupart du temps, on peut gérer la douleur. mais parfois la douleur s’abat sur vous. quand vous vous y attendez le moins. elle vous attaque en traître. et ne vous lâche pas. la douleur, vous devez juste continuer à vous battre, parce que de toute façon vous ne pouvez pas l’éviter. et la vie en fourni toujours plus.(grey’s anatomy, meredith.)

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La nuit dominait le ciel estival. L’alcool coulait à flot, la musique domptait les corps des personnes dans la salle. Un groupe de personne dans un coin sombre s’échangeait une bouteille et fumait quelques merdes. Une soirée digne de ce nom pour eux. Rayburn et Sinéad quittèrent le groupe pour rejoindre leur voiture. Pourtant la jeune fille ne semblait pas apprécier l’idée du jeune homme de prendre le volant. « Samwell ! Ce n’est vraiment pas raisonnable de prendre la voiture. » Samwell finit par répliqué. « Fais-moi confiance ! Allez monte ! » Et sans contester les dires de son petit-ami, la dénommée Sinéad monta dans le véhicule. C’était parti pour un quart d’heure de trajet. Sinéad avait sûrement raison, ce n’était pas raisonnable. Ils avaient bu, ils avaient fumé autre chose que de la nicotine et pourtant, les voilà en route. Il faisait noir, les routes étaient désertes et Samwell roulait à vive allure. Sa petite amie installée à côté de lui ne semblait pas rassurée et lui disait de ralentir et même de s’arrêter, que tout ceci était fou de prendre le volant alors qu’il n’était pas en état de conduire. Il n’en faisait qu’à sa tête. Le jeune homme fut ébloui par les phares d’un camion qui venait en face d’eux et inconsciemment, il perdit le contrôle de son véhicule. La panique et la peur étaient palpables dans la voiture et cette dernière rencontra violemment un arbre. Plus de peur que de mal ? Sûrement, peut-être… ou pas. Les deux personnes ne bougèrent plus et le conduire du camion accourut vers le véhicule accidenté. Accident mortel, accident grave ou accident bénin ? Nul ne pouvait nous le dire, ni même ce camionneur qui appela alors les urgences. Les urgences, les policiers étaient présents plusieurs minutes après l’appel. Les deux jeunes gens furent conduits alors à l’hôpital le plus proche. Les urgentistes présents sur les lieux se mirent tous à contribution pour réanimer les deux aimants.

Cela faisait plusieurs heures qu’ils étaient entrées. Chacun de leur côté, les parents de Sinéad et Samwell étaient là, assis chacun de leur côté aussi dans la salle d’attente à attendre le verdict d’un des docteurs. Un premier docteur vint au niveau des parents de la jeune fille, le silence régnait alors en maître. L’homme d’un âge mûr joua avec ses mains avant de prendre la parole : « Je suis désolée, mais nous n’avons pu rien faire pour votre fille … Elle est décédée sur le coup. » La mère de Sinéad s'effondra en larmes dans les bras de son mari qui essayait de cacher sa tristesse. Leur fille était morte, Sinéad était morte … Quant était-il de Samwell ? On ne pouvait pas se le cacher, les parents du jeune Hatfields s’était mis à l’idée qu’eux aussi avait perdu leur enfant. Un second docteur vint alors à leur hauteur un quart d’heure après pour annoncer le verdict tant attendu. « Bien, votre fils est dans une chambre, il devrait se réveiller dans une heure ou deux. Il y a eu plus de peur que de mal à vrai dire. Toutefois… » L’homme stoppa son discours plusieurs secondes puis le reprit. « Nous avons eu un problème, nous avons dû lui transfuser du sang ‘nouveau’ mais celui était contaminé … » S’interrogea monsieur Hatfields. « Pardon ? Qu’est-ce que cela veut dire ? » Puis voilà ce que le médecin rétorqua. « Votre fils sera … enfin est séropositif si vous préférez … S’exclama la mère de Samwell. « Doux Jésus ! » Samwell vivant, certes, mais il n’allait plus être un garçon comme un autre, il était à présent séropositif. Comment les autres personnes allaient prendre cette nouvelle ? Ses amis l’accepteront-ils encore ? Tant de questions se soulevèrent mais, restait-il encore de l’annoncer à Samwell.

Le jeune homme était allongé sur son lit, ses paupières s’ouvrirent petit à petit laissant apparaitre ses parents qui étaient assis à côté de lui. Les deux parents du jeune homme se regardèrent, cherchant ainsi qui allait entamer la conversation et annoncer à leur fils la triste nouvelle. « Samwell … on doit t’annoncer quelque chose … » dit la mère d’une voix peu rassurante. « Où est Sinéad ? Je veux voir Sinéad ! » « Samwell … on doit te dire quelque chose avant … » Sinéad, sa préoccupation première. Celle qui l’aimait, celle à qui il pourrait bâtir un empire. Oui, mais voilà l’empire s’effondra tel un château de carte. Plus une carte de debout, tout est devenu poussière. Le jeune homme prit les quelques forces qui lui restaient et essaya tant bien que mal de se dégager de ce lit et d’avancer vers la porte tout en répétant cette même phrase : « laissez-moi voir Sinéad ! » Dans les couloirs blancs de l’hôpital, Samwell aperçut à quelques mètres de sa chambre, les parents de celle qui obnubilait ses pensées. Sans vraiment réfléchir aux conséquences de son acte, le jeune homme accourut vers les deux personnes. Les larmes montaient petit à petit et d’une voix tremblante, il essaya de prononcer quelques mots : « Je suis … dés …désolé de ce qu’il s’est passé ! Tout ça est de … de ma faute … J’aurais dû l’écouter. Laissez-moi la voir s’il vous plait ! Je veux voir Sinéad ! S’il vous plait. » A ses paroles, le jeune homme chercha alors une réponse. Pourquoi ne le laissèrent-ils pas aller voir sa petite amie ? Pourquoi, oui. Cette question vint s’imprimer sur le bout des lèvres du jeune homme. Cependant, il eut rapidement sa réponse lorsqu’il vit la mère effondrer en larme. La tension était palpable. C’en était trop pour le jeune homme de vingt-et-un ans qui craqua petit à petit en répétant toujours cette même phrase. Il fallait qu’il se fasse à l’idée pourtant : Sinéad ne faisait plus partie de ce monde et avait rejoint un ailleurs lointain.

la vie est faite de choix : oui ou non. continuer ou abandonner. se relever ou rester à terre. certains choix comptent plus que d’autres : aimer ou haïr. être un héros ou un lâche. se battre ou se rendre. vivre ou mourir. je vais le répéter une dernière fois, pour ceux qui en douteraient encore... la vie est faite de choix. vivre ou mourir, le choix le plus important, mais la décision nous appartient rarement. (grey’s anatomy, derek shepherd.)

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« Ça pue le traquenard. » Ça n'était l'affaire que d'une journée. Cette espace désert manquait de repère sur les cartes et les radars et on les avait collé tous les deux à une exploration brève savoir si ce coin était occupé par un groupe d'opposants potentiellement dangereux. Le camp était à quelques kilomètres d'ici, dans un territoire sain et sauf, prêt à recevoir leurs informations. Siméon, arnaché comme un âne, scrutait les alentours, installé dans le coffre d'une jeep à coffre ouvert. Son crâne rasé était abrité du soleil agressif au zénith par un bandana kaki et ses deux mains tenaient fermement un arme de pointe au cas où la situation deviendrait critique. A cause de la luminosité, il était obligé de plisser les yeux pour espérer voir à quelques mètres devant lui mais jusqu'alors seuls des kilomètres de sable brûlant s'étendaient à perte de vue. « Tais-toi, Siméon, tu vas nous filer la poisse. » Au volant, Samwell, un homme à la carrure moins puissante mais, plus grand de taille, fixait la route rocailleuse devant lui afin d'éviter le plus de turbulence possible. Sa barbe naissante, signe qu'il n'avait pas vu un rasoir depuis plusieurs jours lui donnait un air sacrément sérieux mais, son collègue savait que ce n'était qu'une façade illusoire loin de la réalité. D'ailleurs, ce dernier risqua un bref coup d’œil distrait pour se pencher sur le conducteur et taper son épaule de son poing fermé. Il le connaissait par cœur depuis des décennies et le titiller un peu alors qu'il conduisait était la première des plaisanteries à faire. « C'est toi, Samwell avec ta tête de terroriste qui va nous porter la gui ... » Une explosion virulente souleva soudain l'arrière du véhicule et projeta leur passagers ainsi que la carcasse de l'automobile plusieurs mètres plus loin. Il fallut plusieurs minutes à Samwell pour reprendre conscience, la tête dans le sable. Des sifflements aigus et étouffants résonnaient à ses oreilles, l'ouïe altérée sous le choc de l’explosion et des cris lointains dans une langue étrangère lui parvenaient difficilement. C'était un guet-apens qu'ils venaient de subir, la réalité douloureuse lui frappa brusquement comme le mal de crâne qui tambourinait contre ses tempes. « Siméon, ils arrivent ... » Encore allongé sur le sol mouvant, il chercha si toutefois une arme en état était à portée de main. Il n'en avait pris qu'une chacun, une telle attaque n'avait pu se prévoir. Pourtant il ne trouva rien, n'apercevant non loin de lui que la carcasse de ferraille qui brûlait lentement, le véhicule était fichu et la radio qui allait avec. Extirpant le talkie-walkie qui était dans la poche latérale de son pantalon kaki, le soldat tenta de lancer un appel d'urgence sans même vérifier qu'on pouvait le recevoir. Il n'y avait pas de temps à perdre d'autant plus que les cris se rapprochaient, signe affolant que les ennemis avaient été prévenus. « Siméon ? » Un gémissement affreux s'éleva. Samwell tourna la tête et le spectacle d'horreur qui s'exposait devant lui manqua de lui donner la nausée. Son ami était effondré sur le dos, le visage ensanglanté et tout son flanc droit était transpercé par un débris qui avait du venir se ficher là durant la déflagration. Sans attendre, il rampa rapidement vers lui puis le hissa contre lui tout en plaquant sa main sur la plaie béante dans l'espoir de juguler l'hémorragie. Il fallait se cacher maintenant, si les autres les trouvaient dans un tel état inoffensif, il donnait peu cher de leur peau. L'homme distingua difficilement une grosse roche à l'état sauvage qui s'était recourbée sur elle-même, offrant un léger interstice entre elle et le sable. Les secours n'allaient pas tarder, il priait le ciel que son appel ait été entendu. Réunissant toutes ses forces, il s'employa à traîner Siméon jusqu'à l'abri de fortune. Il gardait une main appliquée sur la chair ouverte pour ne pas laisser de trace de sang derrière eux. On n'était jamais plus trahi que par soi-même. Quand il fut arrivé, Samwell dut creuser plusieurs secondes à vive allure pour que tous les deux puissent être dissimulés. Se glissant sous la roche brute qui faisait des accrocs sur ses vêtements à chaque mouvement, il finit par attirer son ami contre lui. Les paroles incompréhensibles qui sonnaient comme des ordres étaient de plus en plus audibles et Samwell se maudissait alors de ne pas avoir appris la langue du pays où on les avait envoyés. Les avait-ils trouvés ? Se retenant presque de respirer, il fut cependant obligé de plaquer son autre main sur la bouche de Siméon pour empêcher son agonie d'être trop bruyante. Ses lèvres étaient glaciales et les tremblements qui agitaient son corps depuis peu ne présageaient que le pire. La perspective des prochaines minutes fut trop violente pour Samwell qui avait tant de peine à maîtriser ses émotions. Sa nervosité et son impuissance se traduisaient à son tour par des frissons de peur. Il avait peur pour son ami de toujours, peur pour le garçon avec qui il avait grandi. Des larmes affluaient à ses paupières sans avoir le cran de s'en échapper. Une main froide comme la mort se posa alors sur la sienne tandis que les yeux vitreux de Siméon se levaient jusqu'au regard bleu humide du soldat. Ils s’étaient compris en un regard et l'évidence fut trop insoutenable pour le soldat Hatfields qui serrait la mâchoire pour ne pas crier de rage. Dans un élan de désespoir, il le serra un peu plus contre lui comme si sa propre chaleur corporel suffirait à le faire survivre. Ça ne devait être qu'une mission de reconnaissance, simplement une routine ... Comme s'il sentait qu'on allait bientôt les découvrir et les achever comme des chiens, Samwell ferma les yeux et attendait la sentence. Un jet d'un liquide chaud rencontra bientôt sa paume qui maintenait toujours Siméon silencieux, signal que l'hémorragie s'étendait fatalement. Bientôt l'étreinte du blessé sur sa main s'affaiblit puis lâcha complètement. Samwell ne sut combien de temps ils restèrent là, avec des ennemis juste au-dessus de leur tête. Quelques secondes, minutes, heures, il l'ignorait. Sans doute s'était-il évanoui au moment même où son meilleur ami quittait ce monde, succombant à ses blessures. A son réveil, il ne fut capable que de pousser un hurlement. Au moment même où il avait failli à sa tâche principale : protéger les siens ... Deux mois que Siméon Watson est mort, deux mois de cauchemar insésent pour le jeune sergent Hatfields. Aujourd'hui Samwell avait rendez-vous dans le bureau de l’État-major de l'armée US, un rendez-vous qui n'annonçait rien de bon d'après le jeune homme. « Sergent Samwell Berlioz Isaiah Hatfields, j'estime que vous n'êtes pas apte à reprendre du service. Les médecins et psychologues ont estimé que votre deuil était encore trop douloureux pour que vous soyez efficaces sur le terrain. Vous n'êtes pas opérationnel, vous ne pourrez remplir vos fonctions correctement. Si j'en suis capable, ne me renvoyez pas chez moi, ne me laissez pas rentrer comme un vulgaire chien puni, je suis capable, je suis un Hatfields. »

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uc

Dernière édition par Samwell Hatfields le Mar 26 Nov - 20:16, édité 1 fois

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me amooooooooooooor t'es trop seksy en paulochon t'sais
bienvenue et bonne chance pour ta fiche

Bienvenue parmi nous ! Bon courage pour ta fiche ! dreams come slow and they go so fast (samwell) 463779403

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graciiiiiiiiiiiias mi amooor dreams come slow and they go so fast (samwell) 3084534274

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t'es sexy en Lawrence aussi dreams come slow and they go so fast (samwell) 1352624170

d'ailleurs j'ai hâte samedi soir d'aller voir HUNGER GAMES dreams come slow and they go so fast (samwell) 4138898025

merci Melody pour l'accueil dreams come slow and they go so fast (samwell) 808880201

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obligé de me réserver un lien HG il est trop débiiiiiiile bref, j'te laisse finir ta fiche

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je te le réserve avec joie dreams come slow and they go so fast (samwell) 1352624170

HGG

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comment ça, il est trop débiiile. wtf ? Shocked

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débile dans le sens booooooooon

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aaaah je comprends mieux dreams come slow and they go so fast (samwell) 2621822428

tu m'as fait peur pendant une seconde dreams come slow and they go so fast (samwell) 1352624170

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bienvenue parmi nous
bon courage pour ta fiche

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AHHHHHHHHHHHHH MAIS ELLE EST LA MA MELIE dreams come slow and they go so fast (samwell) 463779403

Bienvenue ma belle dreams come slow and they go so fast (samwell) 30967800

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merci caitlin I love you

J'AI PAS SUCCOMBE A LA PRESSION DE JENN dreams come slow and they go so fast (samwell) 1732338627

PUIS, J’ÉTAIS OBLIGE DE VOUS REJOINDRE MES AMOUUUURS dreams come slow and they go so fast (samwell) 463779403

Meerci ma belle dreams come slow and they go so fast (samwell) 1677584271

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geeeeenre je force tous le monde :prout:

BBEY , contente de te retrouver ici

bienvenue et réserve moi un lien ma chérie !

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Un pompier (a)
Bienvenue par ici. I love you

Bienvenue ici !

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meerci à tous de votre accueil dreams come slow and they go so fast (samwell) 3084534274

et, contente de te retrouvé ici aussi mon bbey dreams come slow and they go so fast (samwell) 2017660707

et, j'ai terminé ma fiche I love you

validée
bon jeu parmi nous et amuse toi bien

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bienvenue à toi

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