neveah + hold on, we're going home. (finie)

MA PETITE VIE PROFIL

~ NEVEAH WILSON ~
stuck in her day dream.

CRÉDIT: © tumblr - AVATAR: SHAILENE WOODLEY
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nom: wilson.prénom: neveah. âge: vingt-trois ans. date et lieu de naissance: le seize juillet à Sidneynationalité: américaine mais également australiennemétier/études: études en anthropologie + serveuse dans un fast-food (faisant parfois quelques extras dans un bar). statut matrimoniale: célibataire. statut monétaire: $$ (moyenne)groupe: safe and sound. ta chanson country fétiche: need you now de lady antebellum

elle joue du piano depuis qu'elle a cinq ans, ça lui permet de se détendre lorsqu'elle est tendue + elle a toujours été quelqu'un d'assez réservé, mais dès qu'on la connait vraiment, elle se montre un peu délurée, souvent lunatique et s'avère être impulsive + elle déteste avoir tord + elle se ronge les ongles dès qu'elle est stressée + les fins de mois auront bon être difficile, Neveah se trouve toujours un moyen d'acheter des paquets de cigarettes + souvent on demande à Neveah si elle vit sur une autre planète car elle a tendance à ne jamais vraiment écouter ce qu'on lui dit + rêve de découvre le monde + a une phobie des araignées + déteste les petits surnoms + Neveah est une cinéphile et regarde un tas de séries + n'est pas très bavarde aux premiers abords mais finit toujours par monopoliser la parle quand on la lance véritablement + la loyauté est une valeur primordiale + elle n'a jamais vraiment eu le courage de se lancer dans une véritable relation sérieuse après avoir plaqué son petit-ami pour partir aux États-Unis + Neveah est contradictoire, si on lui dit blanc, elle se sent comme obligée de dire noir + adore les jours de pluie +

~ GONNA MAKE THIS PLACE YOUR HOME ~

► Tu es née en Australie, plus précisément à Sidney dans une famille dans laquelle tu fus la cadette. Tu as toujours très bien vécu, tu n'as jamais manqué de rien. Pourtant, tes parents ne roulaient pas sur l'argent mais ils s'étaient toujours donné les moyens pour combler les moindres désirs de tes frères et toi. Travaillant d’arrache-pied pour ainsi nourrir les fonds de caisse familiaux, tu ne passais que les dimanches qu'avec eux. Mais tu as toujours entretenu une relation forte avec eux, ils étaient toujours présents lors ce que tu avais besoin. Tes frères ainés s'étaient toujours montrés disponibles pour toi: dès qu'ils y avaient une moindre boutille à l'école, tu les appelais et tu savais qu'ils règleraient le problème. Tu as toujours été une fille plus ou moins réservée et tu n'avais jamais eu un tas d'amis. Tu étais souvent traitée de fille 'trop bizarre', 'pas normale' et tu avais appris à vivre avec cette solitude. Tu n'organisais jamais de fêtes d'anniversaire et aussi loin que ça puisse être, encore aujourd'hui tu as un mauvais souvenir. Tu pouvais te vanter d'avoir des bonnes notes, d'exceller dans tous les domaines, tu n'avais véritablement qu'une amie sur laquelle compter. Et ce calvaire perdura au collège. Tu négligeais ta tenue vestimentaire, tu ne parlais à personne préférant les places devant, celles qui n'étaient jamais vraiment occupées. Tu préférais les bonnes notes plutôt que d'avoir un tas d'amis. Finalement au lycée, tu as pris plus confiance en toi. Tes frères t'avaient poussé à soigner ton apparence et aller davantage vers les gens et c'est ce que tu fis. Tu connaissais ce que c'était d'avoir des amis, des petits-amis (bien que ce n'était jamais très sérieux) délaissant un peu l'école. Tes parents s'inquiétaient de tes mauvaises notes qui devinrent nombreuses et tu prenais un chemin qui ne te ressemblait pas. Puis tes parents décidèrent de t'envoyer dans une autre école et tu dus tirer un trait sur l'Australie pour rejoindre Londres. Inscrite dans une école privée, tu dus te plier aux règles bien qu'au début, tu tentais d'installer tes propres règles mais tu fus vite punie pour ta rébellion. Tu dus te remettre à travailler après avoir été à deux doigts de rater ton année scolaire. Tu retombais dans les années où tu n'adressais la parole à personne et après avoir convaincu tes parents que tu souhaitais retourner à la maison, tu retrouvais ton cocon familial. Tu avais tiré un trait sur tous tes amis d'antan mais n'arrivant plus à habiter de nouveau ici, avec l'accord de tes parents, tu pus démenager aux États-Unis chez ta grand-mère maternelle pour faire les études dont tu avais rêvé.

► Te rendre ici, à Bishopville, t'avait permis de te reconstruire. Tu avais accumulé trop d'évènements dans ta vie qui t'avait donné envie de changer d'air, d'oublier ton passé. Ta grand-mère maternelle avec laquelle tu n'avais jamais entretenu de liens forts, s'était proposée de t'accueillir après ton choix de vouloir te rendre aux États-Unis. A la base, tu aurais voulu faire une demande de bourse mais il avait été trop tard pour pouvoir la faire. Tu es arrivée à Bishopville à tes dix-neuf ans, les mains quasiment dans les poches. Tu fus accueillie dans la maison de ta grand-mère. Tu la voyais que très rarement car tu avais trouvé un petit job pour payer tes dépenses personnes, n'aimant pas compter sur les autres pour payer à ta place. Tu étais serveuse dans un fast-food et bien que ce n'était pas le job rêvé, il te permettait de te payer tes cigarettes. Vilaine addiction que tu avais depuis tes seize ans, tu fumais à l'époque en cachette. Puis à tes vingt ans, ne supportant plus la morale quotidienne de ta grand-mère et de ses remontrances 'on se voit jamais', 'il faut que tu te reposes', tu décidais de prendre ton indépendance. Ayant trouvé un petit studio, tu t'y installais pour ton plus grand bonheur. Encre aujourd'hui, ton job te permettait à la fois te payer tes dépenses personnelles mais aussi le loyer de cet appartement. Mais tes parents s'étaient proposés de prendre les charges à leur frais, choses à laquelle tu ne refusais pas étant donné que tu arrivais parfois à ne plus savoir comment payer ce qu'il t'était nécessaire pour vivre. Ils t'envoyaient de l'argent et tu arrivais à maintenir un niveau de vie stable. Des fois, connaissant le patron, tu faisais des extras dans un bar de nuit mais souvent épuisée après ton job de serveuse, tu préférais te reposer ou encore travailler un peu tes études. Tu étais devenue plus mature et tu avais appris à t'ouvrir un peu aux gens - du moins assez pour leur donner envie de te connaitre -.